En 2024, ErgoConcept fête ses 10 bougies !
En 2024, ErgoConcept fête ses 10 ans !

Valérie utilise la voiturette électrique Ergo 09L depuis plusieurs mois. Habitant la ville de Tourcoing avec son mari et ses 3 enfants, elle a longtemps souffert de ne pouvoir se déplacer facilement au quotidien, se sentant “prisonnière” dans son appartement. Atteinte du syndrome parkinsonien, cette mère de famille nous confie avoir retrouvé une autonomie salvatrice depuis qu’elle a abandonné son fauteuil manuel pour le modèle E09L. Valérie a également souhaité témoigner sur son expérience pour encourager les personnes en situation de mobilité réduite à se renseigner sur les possibilités d’aides dont elle-même a pu bénéficier au cours de ses démarches. Témoignage.
Avant l’acquisition du fauteuil Ergo 09 XL, je marchais avec un déambulateur et je possédais un fauteuil manuel mais c’était devenu trop compliqué pour moi. J’en étais arrivée à juste faire mes transferts et quelques pas, et pendant un plus d’un an, je me suis sentie “prisonnière” dans mon appartement. C’est à ce moment-là que mon ergothérapeute m’a conseillé un nouveau modèle. Après avoir fait un long bilan sur ma situation globale, elle m’a indiqué que l’Ergo 09L (taille XL) était celui qui me conviendrait le mieux. De plus, elle avait de bons retours de ses patients sur cette voiturette. J’ai donc fait les démarches pour l’acquisition et mon revendeur est venu à domicile pour faire l‘essai. Je l’ai depuis le mois de mai et j’en suis vraiment contente. Les étapes m’ont d’ailleurs parues longues car j’attendais le fauteuil avec impatience.
J’ai ressenti une grande différence car depuis plus de 15 ans, lors des visites à l’extérieur par exemple, je ne pouvais pas faire grand-chose, je prenais un bouquin et j’attendais sur un banc. Si je devais résumer par un exemple, je dirai qu’un des plus beaux moments que j’ai connu, c’est au tout début, quand je suis allée au musée du Louvres. J’ai pu admirer la sculpture du “Scribe assis en tailleur” et cela a été un plaisir immense de pouvoir faire le tour de l’œuvre, jusqu’à 15 fois, pour voir tous les détails (rire). Vous ne pouvez pas imaginer le sentiment de bonheur pour moi. Avoir enfin la possibilité de s’attarder sur ce que l’on veut ! La position debout m’était pénible et avant, en fauteuil manuel, quelqu’un me poussait, donc je subissais un peu la visite en fonction des goûts de la personne qui me conduisait alors que désormais je peux prendre le temps de voir ce qui m’intéresse !
Aussi, cette voiturette est vraiment pratique car elle tient parfaitement la route en montée. Par exemple, quand nous étions en Bretagne, il y avait beaucoup de pentes, le temps était humide et le sol un peu mouillé parfois, et je n’ai pas eu de difficultés pour monter. Il est également très confortable et par rapport à mon fauteuil manuel, je sens beaucoup moins les secousses et je souffre moins.
Comme je suis en appartement, dès que nous pouvons, nous bougeons beaucoup avec mon mari. Nous faisons souvent du camping. Le fauteuil a déjà bien servi, et a fait un bon tour de France. Ce qui est très amusant c’est que c’est mon mari maintenant qui est usé à force de me suivre, car je peux désormais prolonger les balades, je ne suis jamais fatiguée. C’est lui qui s’assoit sur un banc et qui attend que je termine les visites maintenant (rires). Je suis ravie car je peux profiter et le fauteuil me permet une liberté que je n’avais plus connue depuis des années.
Lors de nos séjours en camping, les jeunes enfants sont étonnés par le fait que personne ne pousse mon fauteuil et comme il n’est pas imposant, ils se demandent comment il fonctionne. Ils adorent faire la course, sur les allées en bitume des campings. Ils sont très intrigués mais avec bienveillance, et posent des questions sur le handicap avec sollicitude.
Je suggérerai un système d’éclairage facilement compatible avec mon fauteuil pour la circulation de nuit. Aussi les accoudoirs sont souples et agréables mais je heurte parfois les passages de portes et cela les use à la longue, donc voir comment on pourrait les renforcer sur le modèle XL qui est un peu plus large que les autres.
Aussi, avec mon mari nous avons eu des difficultés pour gonfler les roues au début, mais le responsable de notre secteur, Gautier, nous a donné de bons conseils pour régler ce problème. Gautier est aussi repassé nous voir pour ajuster les paramétrages du fauteuil afin que la conduite soit adaptée à mes besoins. En effet, il n’est malheureusement pas toujours facile de circuler sur les trottoirs, c’est pourquoi être à l’aise sur le pilotage du fauteuil est vraiment important. J’ai donc été rassurée par le service et les conseils promulgués par le siège, et je remercie Gauthier qui a su parfaitement comprendre mon problème.
Enfin, même si cette voiturette relativement légère, j’envisage d’acquérir la grue Ergo Atlas pour la charger plus facilement dans le coffre car mon mari à parfois mal au dos. Je vais très prochainement faire le test de compatibilité sur ma voiture avec mon revendeur et Gautier.
Tout d’abord, je remarque que beaucoup de personnes en fauteuil manuel m’arrêtent dans la rue pour avoir des infos sur ma voiturette électrique car ils ne connaissent pas encore ce type de solution. Ils ne savent pas non plus que des prises en charge existent. Je souhaite ainsi rassurer les personnes qui sont dans ma situation et qui ont un frein par rapport au prix du fauteuil. Pour l’acquisition du modèle E09L (taille XL) par exemple, j’avais un reste à charge de 400€ après la prise en charge de la sécurité sociale car ce modèle a des options supplémentaires par rapport au modèle classique, mais j’ai pu avoir une aide financière complémentaire par la PCH qui m’a remboursé l’intégralité du montant que j’avais avancé. C’est important pour moi de le préciser car l’argent peut être un frein, il faut savoir qu’il existe des organismes liés au handicap qui peuvent allouer une aide financière.
Oui, il est fort possible que nous partions visiter les Pays-Bas avec la voiturette, je vous enverrai des photos avec plaisir.
Marie-Michèle vit dans un petit village de la Somme, près d’Amiens, avec son mari. Heureuse grand-mère de 7 petits-enfants, elle se plaît à organiser des voyages avec chacun d’eux dans la ville européenne de leur choix. Des moments de partage précieux, à la découverte de la gastronomie et la culture locale, que Marie-Michèle peut vivre pleinement grâce à sa voiturette électrique Ergo 07L, dont elle a fait l’acquisition en 2018. Un petit modèle qu’elle peut emmener partout grâce notamment à son pliage facile. Témoignage.
Lors d’un séjour à Lamalou-les-Bains, j’ai vu ce modèle exposé dans un magasin de matériel médical. Je l’ai trouvé très bien, et dès mon retour j’ai fait la recherche pour l’acquérir. J’ai été mise en contact avec Gautier Jablonski, responsable de ma région chez ErgoConcept. Il s’est déplacé chez moi pour me le faire essayer et me montrer son système de pliage facile qui m’a beaucoup plu !
Ce n’est pas ma première voiturette car je suis paraplégique depuis un grave accident de voiture que j’ai eu en 1986. Ne pouvant du tout marcher, j’ai eu plusieurs types de fauteuils, des gros modèles électriques ou manuels, puis des fauteuils de plus en plus légers. L’Ergo 07L n’est pas donc mon seul fauteuil électrique mais c’est celui que je prends pour mes voyages car on peut le plier très facilement.
Ce fauteuil me permet de voyager en famille ou de simplement partir quelques jours très facilement ! Il y a quelques temps, je suis même allée seule en train rejoindre une amie à Cannes avec ce modèle. On m’a d’ailleurs fait des remarques très positives dans le wagon car les gens le trouvent très pratique. Il est compact et facile à plier, adapté aux transports en avion, en taxi, ou avec une voiture de location par exemple. Lors de notre dernier voyage, nous avions loué une petite Ford et le fauteuil s’est parfaitement glissé dans le coffre. Les chauffeurs de taxi le prennent aussi comme une valise donc c’est parfait. En avion, on garde les batteries en cabine avec nous, elles s’enlèvent très facilement. ErgoConcept nous a également fourni l’attestation de transport en anglais, et c’est rassurant car les compagnies demandent des infos spécifiques (batterie Lithium, puissance, etc..).
C’est le seul fauteuil que je peux emmener partout. Je l’ai depuis 2018, et notre premier voyage avec ce fauteuil était au Danemark, à Copenhague. Nous avons également pu faire une belle croisière en passant par Helsinki, Saint-Pétersbourg, Stockholm (photo où je sors du train), Tallinn et Oslo. Et là, je reviens tout juste de Porto au Portugal que l’on a visité avec un de mes petit-fils. Nous avons pu découvrir Porto Legends, un spectacle audiovisuel qui se visite dans un souterrain, accessible, très immersif avec des écrans qui projettent 10 légendes de la ville, c’est très intéressant. Nous avons aussi pu visiter une cave, le Musée du vin, et prendre un petit bateau… En revanche, la ville n’est pas très accessible car il y a des travaux partout et des ruelles étroites et pentues, cela nous parfois mis dans des situations difficiles, mais cela aurait été pire avec un gros fauteuil. Ce qui est idéal avec ce petit fauteuil, c’est aussi la facilité avec laquelle je peux faire mes transferts. L’assise est à la bonne hauteur, j’enlève la batterie côté gauche, sachant que mon joystick est à droite, et je peux ainsi me mettre au plus près sans obstacle. C’est important en voyage, pour accéder aux toilettes par exemple !
Le branchement en haut de la batterie est fragile, et il a été abîmé lors de mon dernier voyage à Porto. J’ai appelé Gautier Jablonski qui s’est montré à l’écoute, ce que j’apprécie beaucoup, car il est très humain. Il va m’accompagner pour le changement de la batterie et peut-être me présenter un nouveau modèle de fauteuil. À part cela, je me souviens aussi qu’une fois, à Cracovie, le pneu s’est crevé et mon mari m’a aidée à rentrer sur 3 roues, donc il faut anticiper sur ce genre de problème en voyage. Au niveau des accessoires, j’ai maintenant la bombe anti-crevaison, le porte-bagage et la batterie supplémentaire pour doubler l’autonomie, et j’ajoute aussi un filet sur le côté pour mettre des objets personnels. Je sais qu’il y a des nouveaux repose-pieds pour le modèle E07L donc je vais me renseigner car le mien s’est fragilisé avec le temps.
Nous avons la chance de pouvoir faire profiter nos petits-enfants d’un voyage chacun afin qu’ils découvrent la ville de leur choix. Le premier avait choisi Rome, puis nous sommes allés à Porto avec notre deuxième petit-fils. Cet été nous partons à Valence en Espagne avec deux de nos petites-filles. L’année prochaine nous espérons visiter Vienne, et je m’intéresse aussi à la Grèce, notamment à Thessalonique qui a l’air d’être une ville assez plate et donc plus praticable pour moi. On prépare le voyage longtemps à l’avance pour prévoir des activités qui plaisent aux enfants et qui sont accessibles pour les personnes à mobilité réduite. Plus près de chez moi, en mai, je vais aussi me rendre à la fête du village avec mon fauteuil E07L, ce sera sera plus pratique qu’avec mon fauteuil manuel.
Patricia et son mari Jean-Michel vivent dans les Hauts-de-Seine, à proximité des étangs de Ville d’Avray, une région dans laquelle ils aiment se balader et pratiquer leurs loisirs respectifs. Dynamique et sportif, le couple a récemment dû faire face à une épreuve difficile qui leur a imposé un changement de rythme au quotidien. Alors qu’ils reprennent progressivement leurs habitudes, entre séances de rééducation et promenades printanières, Patricia et Jean-Michel témoignent de l’importance de pouvoir se déplacer avec le plus d’autonomie possible pour retrouver une vie “normale”.
Jean-Michel : Nous avons fait l’acquisition du fauteuil électrique E08 en février 2022, car Il y a environ 2 ans, ma femme a subit un AVC qui lui a causé une hémiplégie du côté gauche. Si elle peut rester assise et progresser avec une canne, il nous a rapidement fallu trouver un moyen pratique de nous déplacer entre l’hôpital, notre domicile et les séances de rééducation. On avait fait des tests de fauteuils manuels mais Patricia ne pouvait avancer suffisamment, j’ai donc regardé sur internet pour trouver un petit fauteuil électrique, facile à manipuler et à plier, plutôt qu’un gros fauteuil avec une batterie lourde. Ensuite, j’ai demandé à faire un test avec un médecin PMR et une ergothérapeute, et le commercial ErgoConcept nous a également guidés dans notre choix pour le modèle E08L. Patricia a pu bien s’adapter grâce à l’ergothérapeute qui l’a aidée à diriger son regard pour une conduite optimale.
Patricia : Oui, ce fauteuil me permet de me remettre dans une forme de normalité pour aller à la rencontre des gens, me déplacer et retrouver une autonomie surtout. Je ne sais pas si j’ai été trop active, mais quand j’ai repris connaissance après mon AVC cela m’a fait un choc immense ! Ayant toujours travaillé, dans le privé d’abord puis dans le milieu associatif où je dirigeais une association de médiation sociale, je pratiquais aussi la danse, la natation… et d’un coup, ne pouvoir plus rien faire, c’était très dur ! Je suis contente de pouvoir profiter du renouveau de la nature, de sortir à nouveau.
Patricia : Je commence à sortir, plus qu’en hiver, et c’est très agréable, et je me sens aussi confortable dans le fauteuil car j’y passe une grande partie de la journée, je lis, je regarde la télévision… même si je ne me déplace pas toujours avec à l’intérieur car certains passages sont trop exigus.
Jean-Michel : On a l’utilise surtout dehors et à la campagne, car notre domicile n’est pas vraiment adapté pour une personne à mobilité réduite. On a aussi 3 séances de kiné par semaine, donc c’est très pratique car on ne peut pas toujours se garer pas à côté. Idem pour les RV avec l’orthophoniste. On apprécie vraiment le Ergo 08L car Patricia est en toute autonomie pour se déplacer et le fauteuil n’est pas très gros par rapport à ceux qu’on voit habituellement. Il est léger et se glisse très bien dans le coffre de notre voiture. On peut aussi prendre l’ascenseur sans problème, par contre si je mets parfois le fauteuil en manuel pour aider ma femme à se diriger plus facilement.
Jean-Michel : Nous avons remarqué que la “position 1” sur le joystick est un peu rapide à intérieur, et dans ce cas je le mets en manuel plutôt qu’en automatique pour aider ma femme. Il faudra que l’on vérifie les réglages. Les pneus peuvent aussi se dégonfler mais j’ai pu gérer cela sans problème. Le fauteuil se manipule bien et, au bout d’un an, on en est très content. On espère que cela durera sur le long terme. On a aussi commandé plusieurs accessoires pour améliorer le confort de Patricia, (accoudoirs, appuie-tête) et je suis passé par des revendeurs partenaires ErgoConcept différents à proximité de chez nous. Les délais ont été plus ou moins longs, il faudrait bien faire attention à cela.
Patricia : Au début, ne pratiquant pas les jeux vidéos, cela n’a pas forcément été très intuitif pour moi avec le Joystick (rire). Je n’ai pas forcément sauté de joie à l’idée d’avoir un fauteuil en me disant c’est fantastique… on se pose aussi beaucoup de questions sur le regard des autres notamment et j’avais peur de ne pas être à l’aise, de ne pas savoir le manipuler…mais en l’essayant, ces craintes se sont envolées car il est confortable et me permet de faire des choses que je ne pourrai pas faire sinon. Ce n’est pas comme rester allongée immobile chez soi, et c’est très important pour la reconstruction.
Patricia : Pour l’instant, je suis déjà ravie de pouvoir faire des sorties avec mon fils ainé car nous sommes passionnés d’art et grâce à ce fauteuil je peux continuer à vivre cette passion, voir des expos, me balader dans les musées…Il vient me chercher et c’est très pratique, ce serait un grand vide si je ne pouvais pas le faire, au-delà des activités physiques, c’est important d’avoir des activités intellectuelles. En revanche, il va falloir que je m’entraîne encore dans certaines situations car lors de notre première sortie dans la forêt de Meudon avec mon mari, je l’ai testé en “version cross” malgré moi (rire)…
Jean-Michel : Oui, ma femme n’a pas vu un petit fossé et elle a basculé, mais tout s’est bien terminé, cela n’avait rien à voir avec le fauteuil. On a la chance d’avoir accès à la forêt et on compte bien continuer à en profiter ! On espère aussi organiser des voyages plus tard mais pour l’instant on se concentre sur la rééducation pour que Patricia soit autonome avec une canne de temps en temps, et qu’elle puisse aussi s’améliorer dans les virages avec le fauteuil (rire)… Je me souviens qu’une fois à l’hôpital, on a vu une dame qui se déplaçait avec exactement le même fauteuil que le notre, le E08L, avec une dextérité impressionnante ! Ma femme progresse mais elle ne va pas encore aussi vite dans les virages… (rires). Le principal pour l’instant, c’est qu’on puisse faire des sorties, aller au jardin des plantes, au bowling avec des amis, on est pas bloqués dans l’appartement.. Patricia m’accompagne aussi au tir à l’arc par exemple, et elle bouquine à côté, c’est très important pour nous aider à retrouver une vie “normale”.
Chantal est utilisatrice du scooter Ergo Mojo depuis plus d’un mois. Alors qu’elle profite d’une plus grande autonomie au quotidien, cette dynamique mère de famille a accepté de partager son expérience sur l’utilisation de ce scooter dans sa vie de tous les jours … comme en voyage ! En effet, Chantal a non seulement retrouvé le goût des sorties, mais elle sent déjà tous les bénéfices que cette nouvelle solution de mobilité lui apporte… Témoignage.
J’ai 67 ans, j’habite en Seine-Saint-Denis, et je suis la mère de 7 grands enfants, 6 filles et 1 garçon. Je marche très peu, avec l’aide de deux béquilles. En fait, j’avais une prothèse mais depuis une chute je ne peux plus marcher facilement. Je dois être très prudente pour ne pas me blesser à nouveau. Dès la sortie de mon pavillon, je ne me déplace qu’en scooter.
J’avais un autre scooter auparavant, mais beaucoup moins bien, très lourd, je ne me sentais pas en sécurité. Et je ne pouvais pas l’ouvrir toute seule. Je me suis donc renseignée auprès de mon revendeur qui m’a mise en relation avec un expert ErgoConcept. Il m’a présenté le scooter Ergo MOJO. Je l’ai essayé et je me suis dit « c’est celui-là que je veux ! ». Je me sens vraiment bien sur ce scooter.
Je le trouve très bien pour la mobilité, et surtout, on peut le déplier soi-même, c’est très pratique. Je peux l’ouvrir sans avoir besoin de personne, ce qui me permet d’être vraiment autonome pour mes déplacements. Je peux aller où je veux avec, et je peux prendre l’avion sans problème. ! Il ne prend pas de place, se faufile partout, dans les magasins, dans les ascenseurs… Je vais même au cinéma avec, il est génial ! Je suis heureuse chaque matin car je sais que je vais pouvoir sortir grâce au scooter Ergo Mojo.
Aussi, je remarque que le scooter engage encore plus à la conversation, tout le monde me connaît dans le quartier, et plusieurs personnes me posent des questions et semblent très intéressées. Je personnalise mon scooter pour me l’approprier, et ça fait parler les gens (rire).
En France malheureusement, c’est encore parfois compliqué d’entrer dans des magasins. Mais il y a des personnes qui veulent vous aider, parfois par exemple on me demande si j’ai besoin d’aide pour me relever au cinéma.
J’aimerai plus de sensibilisation sur le handicap et que les activités et loisirs soient plus accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Oui, je vais aussi pouvoir voyager beaucoup plus facilement, et j’ai même déjà pu faire un premier voyage avec le Mojo. Je suis partie 3 semaines en Polynésie ! J’ai pu rencontrer des personnes adorables, ils ont une vie simple. J’ai pu mettre facilement le scooter sur les bateaux, mais aussi pour se déplacer entre les îles. Le fait que le scooter se plie et se déplie automatiquement facilite considérablement toute sorte de déplacement. Je vais aussi très prochainement aller voir ma fille à Londres. J’aime bien aller en Angleterre car tout est prévu pour les personnes à mobilité réduite.
Ce serait au niveau de l’accessoire “sacoche accoudoir”, car quand elle est installée, on ne peut monter et descendre que d’un seul côté.
Oui plusieurs car le scooter attire l’attention…
Par exemple, à l’hôtel ou dans diverses situations, quand je recule, le bip du scooter interpelle, et tout le monde me regarde avec sympathie, ça amène les gens aux sourires et aux rires partagés, c’est marrant. En Polynésie aussi, on me demandait comment ça marche, alors j’ai fait plusieurs démonstrations du scooter qui se plie et déplie automatiquement, les personnes étaient « impressionnées / captivées / conquises ». Pour l’avion également, la personne qui prend le scooter pour le mettre dans la soute de l’avion est très contente qu’il soit électrique et se plie automatiquement !
Franck, utilisateur du fauteuil électrique pliable Ergo 08L depuis un an et demi, a une grande passion pour les voyages. Accompagné de ses enfants ou d’amis, il a déjà pu découvrir de nombreux pays.
Atteint d’une maladie qui altère son équilibre, Franck a pu commencer à voyager sans solutions de mobilité, puis il a fait quelques destinations avec un fauteuil manuel. Désormais c’est le fauteuil roulant électrique ERGO 08L qui l’accompagne dans ses excursions. Il partage sa passion à travers son site internet et souhaite montrer qu’il est possible de voyager même en situation de handicap.
J’habite à la Roche sur Yvon en Vendée, et je suis natif de la région Parisienne.
J’ai pu commencer à voyager en 2017, en débutant ma découverte du monde par la Thaïlande. À ce moment-là je n’avais pas encore besoin d’aide à la mobilité. Mes difficultés à marcher sont apparues progressivement.
Je suis atteint d’une maladie orpheline du système nerveux, qui m’empêche aujourd’hui de marcher très longtemps. Depuis peu, j’ai même décidé d’arrêter de conduire car je me rends compte que cela devient moins évident.
Lorsque mes difficultés de marche ont commencé, je voyageai essentiellement en fauteuil manuel dont la première fois aux Etats-Unis.
Avec mes enfants et mes amis, on était d’accord sur le fait que le fauteuil manuel pour les longues distances, ce n’est pas évident. On fait de nombreuses visites, on bouge beaucoup. J’ai eu un déclic en visitant la cathédrale de Florence. J’ai rencontré une dame seule qui était en fauteuil roulant électrique. Pour moi à l’époque c’était inaccessible.
J’en ai parlé au médecin ergothérapeute du centre de rééducation dans lequel je suis suivi. Elle m’a expliqué que ce type de fauteuil existait en France, et que l’on pouvait mettre en place la procédure. Par rapport à ma situation cela était cohérent. Après des essais de plusieurs modèles, L’ERGO 08L correspondait le mieux à mes besoins (réglages, solidité, autonomie…). Je cherchais aussi un fauteuil qui pouvait facilement prendre l’avion.
Le fauteuil roulant électrique nous a beaucoup aidé lors de mes trois derniers voyages : l’Espagne, les plaines d’Ecosse et aussi les grandes villes japonaises.
Le fait de passer du manuel à l’électrique nous a beaucoup aidé pour pouvoir facilement faire de longues distances notamment pour les personnes qui m’accompagnent. Tout le monde peut mieux profiter, et être plus autonome pendant les visites. Et pour moi qui aime prendre énormément de photos, je peux m’orienter comme je veux. C’est du détail mais c’est très important.
Et comme maintenant je ne vais plus conduire, le fauteuil E08L va me servir un peu plus aussi pour les sorties près de chez moi.
L’accessibilité PMR est très différente selon les pays. De ce que j’ai pu visiter, le Japon est le mieux adapté et leur mentalité sur le handicap est très différente. Les personnes en situation de handicap ne sont pas forcément prioritaires car ils estiment que ce sont des personnes comme les autres mais par contre tout est fait pour voir une bonne accessibilité.
Et l’endroit le moins accessible en fauteuil a été le métro de Paris, il n’y a pas d’ascenseurs, contrairement au RER. Aussi pour monter dans le TGV, si vous n’êtes pas accompagné, il faut se faire aider par un agent alors que les trains d’autres pays sont entièrement à fond.
En espérant qu’avec les Jeux Paralympiques cela va permettre de faire évoluer les choses.
Mais globalement il y a quand même beaucoup de choses qui vont bien, et notre système pour l’acquisition d’un fauteuil est une vraie chance.
Pour mon cas entre la mutuelle et la sécurité sociale, l’acquisition a été prise en charge intégralement.
Je suis vraiment très satisfait de l’ERGO 08L. Une chose à laquelle j’ai pensé pour l’améliorer ce serait une touche « marche arrière » pour reculer tout droit sans se poser de question notamment lorsqu’on sort de l’ascenseur. Et sinon, je me sers peu du klaxon, car il n’est pas assez fort lorsqu’il y a du monde.
Mon fils habite à Barcelone et il va avoir un bébé donc je pense y retourner plusieurs fois prochainement. Et ma fille voudrait visiter VIENNE, c’est notre projet pour 2025. Et peut-être aussi par la suite faire l’autre côté des États-Unis (San Francisco / Los Angeles) en terminant par le Canada, et la Corée me tente bien.
J’ai la chance d’avoir déjà le tour de mes vrais projets de vie, mais je reprends très vite l’envie de grand voyage. Ma belle-fille est en argentine, donc pourquoi pas aussi l’ajouter dans mes projets.
Pour partager mon goût pour les voyages et donner l’envie aux personnes en situation de handicap, j’ai récemment créé mon site « Les Voyages de Franck ». J’essaie de le faire évoluer régulièrement.
Le voyage en handicap est faisable mais il faut savoir où on va, comment et avec qui. J’aime bien m’occuper de l’organisation, ça fait partie du voyage pour moi. Je regarde tout avant : les accès, les commentaires et les retours des gens si c’est accessible
J’ai vu tellement de belles choses que si des personnes sont intéressées, j’ai envie de leur dire : Allez-y !!
Retour sur les Jeux Paralympiques avec le témoignage de notre partenaire Nathalie BENOIT, utilisatrice du fauteuil électrique BR7, qui a brillamment remporté la médaille de Bronze Para Aviron aux Jeux Paralympiques Paris 2024.
On fait une préparation à l’année sur toute Olympiade, il n’y a pas de changement à part l’augmentation des jours de stage. On part toujours une semaine par mois en stage et là à l’approche des Jeux Paralympiques, c’était plutôt 10 jours. Sauf sur les stages terminaux qui sont vraiment beaucoup plus longs. Après, c’est toujours la même chose, à la maison c’est 2 entraînements par jour, en stage c’est 3 fois par jour. On appelle ça des cycles de 3 jours. Ça, c’est à l’année, ce n’est pas spécifique à l’année des Jeux, c’est tout le temps. Et l’année des Jeux Paralympiques, il y a un peu plus de jours de stages.
Je me sentais bien car au niveau matériel et technique, on avait tout affiné. Les derniers temps, j’ai essayé de nouvelles choses mais à la première course, je n’étais pas convaincue donc je suis revenue sur ce que je travaillais depuis des années : un cran de saut de cadence avec propulsion à chaque coup. Comme en vélo, soit on mouline plus avec moins de puissance, soit on fait moins de coups par minute mais il faut alors plus de force si on veut viser ce qu’on veut. Bref, sur ce point-là, j’ai un peu changé de tactique entre la première et la dernière course des Jeux Paralympiques. Mais sinon, je me sentais bien grâce à une bonne préparation. Comme à chaque épreuve, j’étais stressée mais maintenant je l’accueille en me disant que ça fait partie de la performance.
Étant tombée malade juste avant, je n’étais pas au meilleur de ma forme mais j’ai pu participer grâce au superbe BR7 qui m’accompagne. Si je devais rester debout ou avec le fauteuil manuel je n’aurais pas pu, c’est sûr
J’ai bien senti la différence par rapport à avant où je ne l’utilisais pas. Au niveau des stages, du village olympique, de la fatigue, c’était génial. Ne jamais avoir d’assistance, ça prend une énergie folle. Surtout que le village olympique était en pente donc à chaque fois il fallait descendre et remonter pour aller manger par exemple. Un jour, j’ai prêté mon fauteuil et passé la journée avec un manuel,… j’ai vraiment senti la différence.
Le fauteuil roulant électrique BR7 est un fauteuil avec une grande autonomie et confortable. En plus, il est assez classe donc on n’a pas l’impression de sauter dans un fauteuil de super handicapé. Il ressemble à un petit siège de bureau design qui se déplace, c’est vraiment un sentiment super sympa. Le fait de pouvoir utiliser différentes vitesses, c’est pratique aussi car on peut s’adapter à la vitesse de marche des personnes avec nous. Le fauteuil m’a bien arrangé, que ça soit pour la flamme, pour les stages, donc merci ErgoConcept pour l’aide.
J’arrête ma carrière de sportive, je suis dans le circuit depuis 2008 et c’était mes 3èmes Jeux. Je n’aurais plus le temps de me consacrer 3 entraînements par jour car je commence un nouveau travail en tant que chargée de projet handicap pour Aix-Marseille Université. C’est une grosse université avec 80 000 étudiants dont environ 3 000 sont déclarés en situation de handicap. Mon rôle sera de mettre en place tous les projets possibles qui permettront aux étudiants handicapés d’être les mieux intégrés possibles et qu’il n’y ait pas de différence que ce soit culturel ou sportif.
À part l’entraînement (et le fait de prévoir plus de temps pour les déplacements, les transferts etc.), très sincèrement, il n’y a pas de différence avec les valides. C’est le même investissement, la même hygiène de vie. Si vous faites des sports « cardio » comme le vélo, le triathlon, il faut éviter l’alcool, se coucher tôt, restreindre sa vie sociale… Dit comme ça, cela ne fait pas rêver mais ça apporte énormément lorsque l’on aime ça.
En gros, il faut être prêt à ce que l’effort soit le centre de sa vie pendant un petit moment et surtout passer beaucoup, beaucoup de temps à l’entraînement et être persévérant. Moi je n’appelle pas ça des sacrifices parce que ce sont des choix. J’ai mis un peu entre parenthèses ma vie sociale mais ça ne m’empêchait pas de voir des amis. Dans l’aviron, il y a beaucoup de plaisir, et c’est du sport passion de toute façon. Se lancer dans un sport de haut niveau sans être passionnée me paraît impossible étant donné l’investissement que cela demande.
J’ai commencé à 27 ans l’aviron, avant je faisais du basket-fauteuil. Je ne marchais pas à cette époque, je passais d’un fauteuil à un autre mais j’étais enfermée dans un gymnase. C’était super ludique mais je voulais changer. Je voulais un sport de vie, parce que j’adore ça, et je cherchais aussi à sortir du fauteuil.
Dans ma région, à Marseille, il fait beau, il y a l’eau, la nature, c’est génial. Je cherchais à pratiquer un sport très technique et très physique en même temps. Il faut aimer cette dépense physique pour faire de l’aviron.
Il y a plein d’autres sports qui nécessitent moins de dépense physique mais qui sont tout aussi difficiles et demandent beaucoup plus de concentration. Si je peux donner un conseil, c’est important de choisir un sport en fonction de ses compétences, il y a des choses pour lesquelles on est plus doué que d’autre au départ. Il faut un combo entre ce qu’on aime et là où on a un peu des prédispositions.
Vous découvrirez prochainement un spot publicitaire présentant pour la première fois les solutions de mobilité ErgoConcept à la télévision !
Voici en exclusivité le teaser du tournage réalisé avec des utilisateurs réels de nos fauteuils et scooters électriques. : Axel Alletru, vainqueur du Paris-Dakar 2020 (catégorie SSV standard), Valérie Perrusson, pétillante parisienne et ancienne marathonienne, Audrey Laire, jeune maman et amie de la team ErgoConcept, et enfin Lil Skuna, créateur de vidéos et influenceur. Une équipe de choc mise en scène et en lumière par l’agence digitale lyonnaise Canabae pour entourer Martin Vernay, directeur d’ErgoConcept, acteur et voix off du spot publicitaire !
Nous remercions tous les participants ainsi que l’équipe ErgoConcept pour la qualité de l’organisation et la bonne humeur ambiante lors de ce tournage réalisé au restaurant Le Talluy qui nous a chaleureusement accueilli.
Quand on a 15 ans et que l’on se retrouve subitement en perte de mobilité, même temporairement, l’impact social et scolaire prend une dimension toute particulière. Capucine est une jeune lycéenne de 15 ans pleine de vie et d’énergie, à la voix assurée qui trahit une maturité que nombre de ses camarades doivent lui envier ! C’est sans nul doute cette maturité qui a permis à Capucine de surmonter cette épreuve. Leçon de vie.
Je vis à Annecy. Je suis en fauteuil roulant depuis plus d’un an maintenant à la suite d’une fracture de la hanche qui s’est compliquée. Mais contrairement à d’autres, mon handicap n’est que temporaire. Je sais que je remarcherai bientôt.
Le reste du temps, j’aime cuisiner et sortir avec mes amis ! C’est important les amis quand on a 15 ans ! Et depuis que j’ai un fauteuil roulant électrique, j’ai pu sortir à nouveau avec mes amis.
Un membre de ma famille est revendeur de matériel médical à Aulnay-sous-Bois, chez H.G Médical. C’est lui qui m’a tout de suite conseillé les produits de la marque ErgoConcept. Un Commercial ErgoConcept m’a ensuite contacté pour déterminer mon besoin. C’est Laure-Caroline CORBIN qui m’a accompagnée dans le choix de mon futur fauteuil, mais aussi sur la partie administrative avec la Sécurité Sociale. Après un essai chez moi, j’ai adopté le Ergo 08L 2.0 ! Je l’utilise depuis presque un an maintenant et j’en suis très contente.
Avant le 08, j’utilisais un fauteuil roulant manuel. Mon collège de l’époque était en pente. J’étais donc obligée de demander constamment de l’aide pour me rendre jusqu’à l’entrée de l’établissement. En plus, le fauteuil manuel étant trop large, je ne pouvais pas passer par certaines portes. Comme celles de l’ascenseur par exemple…
Heureusement, le 08 m’a permis de vite laisser tout ça derrière moi !
Un fauteuil roulant électrique ? Au quotidien, ça change tout !
D’abord au collège. Le Ergo08L 2.0 a facilité mes déplacements scolaires notamment. Même si l’accessibilité de mon collège a été adaptée il y a quelques années, le 08, moins large que mon ancien fauteuil manuel, m’a permis, entre autres, de pouvoir utiliser à nouveau l’ascenseur.
Dans mon quotidien ensuite. Ce fauteuil m’a permis d’être bien plus autonome dans mes déplacements et de retrouver une certaine autonomie. Une certaine indépendance. C’était très important pour moi de pouvoir ressortir seule ! Le Ergo08L 2.0 correspond parfaitement à mon besoin. Il prend aussi beaucoup moins de place. Il est beaucoup plus compact qu’un fauteuil manuel, par exemple pour les trajets en voiture.
Le fait qu’il soit pliable est important aussi pour mes proches. Pour mes parents, c’est plus simple à charger et décharger. D’autant que nous avons une petite voiture. Alors que jusqu’ici, mon ancien fauteuil manuel ne rentrait même pas dans le véhicule. L’entourage est forcément impacté par le handicap. Même si celui-ci est temporaire comme dans mon cas. Un fauteuil électrique léger, ça facilite aussi la vie de mes parents. Tout le monde ne peut pas porter un fauteuil de 50 kg. Un fauteuil léger, c’est un vrai plus. C’est bien plus agréable pour tout le monde !
J’améliorerai l’indicateur de la batterie pour qu’il corresponde à la réalité de ce que contient effectivement la batterie.
L’autonomie est aussi très importante sur le 08. Je l’utilise tout le temps. Avec mes amis, on se déplace beaucoup à pied dans la ville. Donc, une bonne autonomie du fauteuil était nécessaire pour moi. J’ai même pris l’avion avec le 08 ! Nous avions deux batteries en bagage à main et le fauteuil en soute.
Nous prévoyons de repartir en voyage à Marrakech au Maroc. Je sais que le 08 me permettra de voyager sereinement.
Les enfants me posent des questions parce que je roule toute seule (rire) ! Sinon, je n’ai pas vu de changement particulier dans le regard des autres de façon générale. J’ai même l’impression que les mentalités sont en train d’évoluer, doucement.
Je ne constate pas de discrimination au quotidien, mais plutôt de la gêne parfois. Une forme de distance, de retenue à cause du handicap, mais je ne l’ai pas ressentie ainsi à mon arrivée au Lycée à la rentrée dernière.
Si le fauteuil pouvait créer un lien plutôt qu’une distance avec les autres, ce serait génial. Le design du fauteuil peut inciter à venir vers la personne handicapée, mais je n’ai jamais vécu cette situation dans la rue par exemple. Plutôt en famille. Là oui. C’est source de discussion. Mais comme je sais que je remarcherai prochainement, pour moi, c’est la fonctionnalité du fauteuil qui était importante dans l’immédiat. J’imagine que l’esthétique du fauteuil doit être beaucoup plus importante pour quelqu’un avec un handicap permanent.
Tout dépend de la situation et de l’environnement dans lequel on vit, mais un fauteuil roulant électrique, ça change tout ! Il ne faut pas hésiter à essayer pour savoir si cela peut nous correspondre. Si l’appareil peut répondre à notre besoin de mobilité, dans notre environnement. Tout le monde est différent. Nous n’avons pas tous les mêmes besoins, même si certains handicaps sont similaires. Quoi qu’il en soit, il existe forcément une solution de mobilité adaptée !
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